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reportage video TRIO GERHSWIN

 

"Christine Petit-D'Heilly nous offre ici un beau disque qui met en évidence sa grande musicalité, sa maîtrise de l'instrument et la finesse de ses interprétations." (Alberto Ponce).

"Christine Petit-D'Heilly joue juste, juste et si sensible avec, vissé au corps, un sens du rythme qui ne la quitte pas. Qualités précieuses quand on a choisi la guitare comme compagne de douleur/douceur. Et indispensables- c'est le cas de cette artiste - pour que la guitare vous choisisse à son tour." (Roland Dyens).

"L'interprète donne ici toute la mesure de sa maîtrise, de sa subtilité et de sa finesse. Tant sur le plan rythmique que mélodique, on constate qu'elle a parfaitement assimilé le style si personnel d'Astor Piazzolla...L'envol , la perfection des traits exécutés dans un détaché impeccable, l'élégance dans le délié des mélodies, en particulier dans la Milonga del angel captivent l'oreille même la plus avertie. Le tout projeté dans un élan syncopé qu'on peut savourer dans la Primavera Portena. Alberto Ponce présente Christine Petit-D'Heilly en une phrase. Je n'hésiterais pas à le paraphraser en ajoutant: " une nouvelle dame de la guitare est désormais parmi nous. " (Les cahiers de la Guitare, septembre 2000).

"Les oeuvres de Tarrega ( variations sur le Carnaval de venise, valse en ré, el columpio, las dos hermanitas), de Ruiz-pipo ( Cancion y danza N° 2), de Domeniconi ( Koyunbaba suite opus 19), puis de Gismonti ( central guitar ) et de Piazzolla ( milonga del angle , primavera portena)sont exécutées avec un raffinement et une poésie tels que des trésors de mystère, d'exotisme et de tendre rêverie nous submergent irrésistiblement.Une technique sûre permet de donner du naturel à l'interprétation d'oeuvres aux nombreux pièges et la guitare, instrument si difficile à maîtriser , se transforme alors en un instrument de pur bonheur musical.Les saveurs épicées de l'orient, le soleil non chaland du Brésil ou les passions d'espagne sont autant d'impressions et d'invitations au voyage en compagnie d'une artiste à la sensibilité lumineuse étincelant dans la clarté de son jeu. Ce disque est un véritable joyau et arrivera à combler aussi bien les grands connaisseurs de la musique pour guitare que les mélomanes simplement désireux de passer un très agréable moment." Christophe Le gall. Resmusica. "

...de l'expression, un joli phrasé, de la délicatesse, de la précision. Si l'on ajoute un jeu propre et sans bruit de corde... de la sobriété mais de la conviction néanmoins agrémenté de virtuosité, vous avez réussi là une belle introduction dans ce monde difficile des professionnels et je vous fais mes compliments complètement mérités." (Daniel Friederich, Luthier).

"Un programme courageux car souvent entendu (exception faite du singulier "Central Guitar")... Mais Christine Petit-D'Heilly n'a à craindre aucune comparaison...d'emblée, ses qualités retiennent l'attention...Un jeu très propre ( si rare ! ) , une mise en scène réféchie des univers contrastés qu'elle revisite, une sensibilité et un contrôle de la sonorité qui ne peuvent que séduire, reflets de la vie intérieure qui habite cette interprète qui honore la guitare en lui donnant si bien la vie.". ( Cristina & Robert Mercier. Guitare diffusion ).

"Les premières notes nous décrivent Christine Petit-D'Heilly comme une personne extrêmement sensible. Elle joue Francisco Tarrega d'une façon inhabituelle, d'une façon confirmant tout à fait le surnom de ce maître de la guitare du XIXème siècle: " le Chopin de la guitare". L'interprétation de "Koyunbaba" nous décrit la guitariste sous plusiuers facettes, elle construit de façon conséquente d'immenses morceaux dramatiques, compose des formes, et nous surprend par ses parties nostalgiques. Le mouvement final entraîne l'auditeur dans une espèce de transe. C'est l'un des plus beaux finals que j'aie entendu. Si le morceau du Jazzman Egberto Gismonti, intitulé " Central Guitar", n'est pas apprécié à sa juste valeur par les guitaristes, il constitue toutefois l'un des temps forts du disque. Pendant plus de cinq minutes, la guitariste nous entraîne dans un monde ardu, dissonant et capricieux, tel que le voit le compositeur. Les effets parfaitement conduits et peu courants retiennent l'attention. Il s'agit là d'un premier disque qui mérite l'attention vers une artiste assurément remarquable". (Revue: Gitara, Krzystof Nieborak).

"...jeune inerprète concetiste au talent déjà affirmé..." .(Dauphiné libéré, avril 1992). "...Une soirée de haute tenue..." . (semaine de provence : mai 1992).

"...Une révélation...offre à la France l'espoir d'être représentée par son intermédiaire dans les plus prestigieuses organisations internationales..." (Méridional, mai 1992).

"...sa prestation révèlait une grande délicatesse, un beau sens des contrastes sonores...". (les cahiers de la guitare. 1997).

"...Un très beau disque qui montre une riche sensibilité et un très beau son. En ce qui concerne l'interprétation des oeuvres d'Astore Piazzolla, il est évident que l'interprète connais très bien la musique de cette partie du monde.".(Alfredo Escande, Uruguay).